Suggestions de livres pour l’estime de soi
Pour favoriser l’estime de soi des tout-petits, Danielle Laporte, Éditions de l’Hôpital Sainte-Justine, 2017 : un documentaire destiné aux parents et à tous ceux et celles qui s’occupent des jeunes enfants.
Comme toi!, Geneviève Côté, Éditions Scholastic, 2009 : un lapin délicat et un cochon vigoureux font tout pour se ressembler, mais ils découvrent que chacun est unique et qu’il est important d’accepter ses différences.
Mon meilleur ami – Frédéric le méli-mêlé, Katia Canciani (texte) et Christine Battuz (illustrations), Bayard, 2009 : Frédéric n’apprend pas comme les autres, tout est difficile pour lui; heureusement il est le meilleur ami de Charlotte.
Moi, je m’aime, Karen Beaumont (texte) et David Catrow (illustrations), Éditions Scholastic, 2017 : une charmante petite comptine sur l’estime de soi.
Jolie sorcière, Harold Jimenez Canizales, Éditions Scholastic, 2017 : un album sur le thème de l’apparence mais, surtout, sur l’importance de s’entourer de gens qui nous aiment pour ce que nous sommes.
Fièrement moustique, Claire Obscure, Bayard, 2008 : une fable charmante pour tous les enfants qui doutent d’eux-mêmes, se sentent incompris ou rejetés.
Fourchon, Kyo Maclear (texte) et Isabelle Arsenault (illustrations), Éditions La pastèque, 2015 : sa maman est une cuillère; son papa, une fourchette; lui, il est un peu des deux et a du mal à trouver sa place à table.
Je suis belle!, Angèle Delaunois (texte) et Philippe Beha (illustrations), Éditions de l’Isatis, 2018 : un album philosophique à portée des jeunes enfants sur la beauté, qui a peut-être tout à voir avec la force de caractère ou les valeurs.
Patate pourrie: le légume le plus mignon du monde!, Ben Clanton, Éditions Scholastic, 2018 : une patate mutante perd confiance en elle devant les autres concurrents du concours du Plus mignon du monde.
Mado, la girafe qui n’aimait pas ses longues jambes, Sylvie Roberge (texte) et Ann-Julie Caron (illustrations), Éditions Sylva, 2019 : la course et le jeu de cache-cache ne sont pas drôles du tout pour Mado, mais un événement changera sa vie.
Drôle de nez, Anke Faust (texte) et Andrej Usatschow, Éditeur Nord-Sud, 2021 : l’ornithorynque, dont tous les animaux se moquent, se réfugie dans un pays rempli d’animaux bien étranges.
Armande, la vache qui n’aimait pas ses taches!, Élodie Richard (texte) et Izou (illustrations), Éditions Auzou, 2010 : même si tout le monde l’apprécie comme elle est, Armande est bien décidée à se débarrasser de ses taches noires.
Quelle chance tu as!, Françoise Laurent (texte) et Bruno Robert (illustrations), Éditions du Ricochet, 2011 : une tortue qui n’aime pas sa carapace se met en quête d’un habit neuf.
Petite ourse, une amie pas comme les autres, Lucie et Fanny Papineau, Dominique et compagnie, collection Estime de soi, 2008 : Petite ourse découvre les qualités de Petite marmotte dont se moquent tous les autres ours de la classe.
Je suis Marilou Melon, Patty Lovell (texte) et David Catrow (illustrations), Éditions Scholastic, 2015 : devant les moqueries sur sa maladresse, ses dents de lapin et sa voix de crapaud, Marilou Melon se rappellera-t-elle du conseil que lui a donné sa grand-mère pour préserver son estime de soi et contrer les effets de l’intimidation?
Moka, le chat qui voulait voler comme les oiseaux, Gilles Tibo (texte) et Bruno St-Aubin (illustrations), Dominique et compagnie, collection Estime de soi, 2006 : Moka découvrira un secret qui lui donnera des ailes pour vivre une vraie vie de chat.
Je ne suis pas un paresseux, Marie-Pier Meunier (texte) et Valérie Desrochers (illustrations), Éditions Tête haute, 2019 : malgré les apparences, Harry n’est pas un paresseux et cache bien d’autres qualités.
Olivier cherche sa place, Cale Atkinson, Éditions Scholastic, 2017 : une pièce d’un casse-tête a du mal à trouver sa place…
Le chat qui voulait être un tigre (2010), L’hippopotame qui voulait être un crocodile (2012) L’ours brun qui voulait être blanc(2012) et L’agneau qui voulait être un loup (2015), Jean Leroy (texte) et Bérengère Delaporte (illustrations), Éditions Les 400 coups : quatre titres amusants sur les désagréments de ne pas s’accepter tel qu’on est.
L’enfance n’est pas toujours cette étape idyllique de la vie. Des nuages peuvent survenir. Un meilleur ami qui déménage, un grand-parent qui décède, des parents qui se séparent, un chien adoré qu’il faut euthanasier, des camarades de classe qui en rejettent un autre… La littérature jeunesse, tout en subtilité, offre des moyens d’aborder ces réalités. Adaptés selon l’âge, les albums illustrés et les romans pour les jeunes lecteurs peuvent aider les parents à ouvrir un dialogue avec leurs enfants, à leur donner une occasion privilégiée d’exprimer leur peur, leur anxiété, leur chagrin. Ces œuvres offrent ainsi aux parents l’occasion de trouver les mots, grâce à ceux des auteurs jeunesse, pour les rassurer.
